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Climatiser ses bureaux pour le meilleur, et le pire

Dans le monde de l’entreprise, maintenir un environnement de travail confortable est devenu une priorité. Les températures extrêmes, qu’elles soient excessivement chaudes en été ou trop froides en hiver, peuvent nuire à la productivité, à la concentration et au bien-être des employés. Face à cela, la climatisation semble être une solution évidente. Cependant, comme toute technologie, elle présente ses avantages mais aussi des inconvénients. Alors, faut-il climatiser ses bureaux ? Pour le meilleur, et le pire, nous vous livrons un éclairage détaillé sur cette question.

Le meilleur : Un environnement de travail agréable et productif

L’un des premiers et plus évidents avantages de la climatisation est l’amélioration du confort thermique. Lorsque les températures grimpent durant l’été, travailler dans un bureau étouffant devient une véritable épreuve. La climatisation permet de maintenir une température agréable tout au long de l’année. Cela crée un environnement où les employés peuvent se concentrer pleinement sur leurs tâches sans être distraits par la chaleur. De plus, la régulation de la température participe à la réduction du stress, permettant ainsi une atmosphère de travail plus sereine.

Les études démontrent que la température a un impact direct sur la productivité des employés. Un bureau trop chaud peut entraîner une baisse de concentration et d’énergie, tandis qu’un espace trop froid peut induire un inconfort physique et nuire à la concentration. La climatisation, en maintenant une température stable, peut ainsi favoriser une meilleure efficacité au travail. Par exemple, dans des bureaux où plusieurs employés travaillent ensemble, une gestion thermique intelligente permet d’optimiser l’utilisation de la climatisation, réduisant ainsi la consommation énergétique tout en maintenant un environnement optimal.

De plus, avec la climatisation réversible, les entreprises peuvent bénéficier d’une solution à double fonction : en été, elle refroidit les espaces, et en hiver, elle chauffe les bureaux, contribuant ainsi à une réduction des coûts liés à l’énergie. Ces systèmes intelligents sont désormais très répandus et permettent une gestion plus écologique et économique de l’énergie. En effet, des installations bien conçues permettent de réduire la consommation d’électricité tout en apportant un confort optimal, même dans des bâtiments mal isolés.

Le pire : Coût, entretien et impact environnemental

Cependant, l’installation d’une climatisation comporte son lot d’inconvénients. Le principal obstacle réside dans le coût d’installation. L’achat et la pose d’un système de climatisation peuvent être coûteux, surtout pour les grandes surfaces de bureaux. À ces coûts d’installation viennent s’ajouter les frais récurrents liés à la maintenance, qui sont souvent négligés. Les filtres doivent être changés régulièrement et le système doit être nettoyé pour éviter l’accumulation de moisissures et autres particules indésirables, pouvant nuire à la qualité de l’air. En cas de négligence, la climatisation peut devenir une source de pollution intérieure, ce qui n’est pas idéal pour un environnement de travail sain.

En outre, l’impact écologique des systèmes de climatisation reste un sujet préoccupant. Bien que les nouveaux modèles consomment moins d’énergie que leurs prédécesseurs, l’utilisation de la climatisation dans les bureaux engendre tout de même une consommation importante d’électricité, augmentant ainsi les émissions de gaz à effet de serre. À une époque où la réduction de l’empreinte carbone est un impératif, chaque entreprise doit évaluer son rôle dans la lutte contre le changement climatique. Heureusement, des solutions alternatives comme des systèmes de piscine naturelle ou de climatisation éco-responsable peuvent être explorées pour limiter l’impact écologique tout en assurant un confort thermique.

La climatisation et la rentabilité à long terme

L’un des défis pour de nombreuses entreprises est le retour sur investissement de la climatisation. Si l’impact immédiat sur le confort et la productivité est tangible, la question se pose de savoir si l’investissement en vaut réellement la peine à long terme. Un système de climatisation, surtout s’il est de haute qualité, peut durer plusieurs années, mais son coût initial reste élevé. Pour optimiser cet investissement, il est essentiel de choisir un modèle performant, de bien le maintenir et de l’adapter aux besoins spécifiques des locaux. La taille des bureaux, leur orientation, l’isolation et même l’occupation peuvent influencer le choix du système de climatisation à installer.

Par ailleurs, une mauvaise gestion de la climatisation peut entraîner des coûts énergétiques élevés. Il est donc primordial de faire appel à des experts comme ceux trouvés dans des entreprises spécialisées en climatisation pour garantir une installation et un suivi adéquats.

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L’importance de la nature dans les espaces de travail

À une époque où la frontière entre vie professionnelle et personnelle devient de plus en plus floue, l’intégration d’éléments naturels dans les espaces de travail s’impose comme une tendance incontournable pour les entreprises soucieuses du bien-être de leurs salariés. La présence de la nature au bureau, aussi connue sous le terme de ‘biophilie’, ne se limite pas à une esthétique agréable ; elle touche des aspects fondamentaux tels que la productivité, la créativité et le bien-être psychologique des employés.

L’incorporation de plantes, l’utilisation de matériaux naturels, l’aménagement d’espaces verts ou encore l’optimisation de la lumière naturelle sont autant de stratégies adoptées par les organisations pour créer des environnements de travail sains et stimulants. Des études montrent que ces éléments biophiliques peuvent réduire le stress, améliorer la concentration et même diminuer l’absentéisme. Par exemple, une enquête réalisée par Human Spaces a révélé que les employés travaillant dans des environnements avec des éléments naturels rapportent un niveau de bien-être 15 % plus élevé que ceux qui en sont dépourvus.

Cette tendance trouve son origine dans notre besoin intrinsèque d’être connecté à la nature, un concept scientifiquement appuyé par la théorie de la biophilie développée par Edward O. Wilson dans les années 80. En plaçant la nature au cœur des préoccupations architecturales et design des bureaux, on assiste à une révolution où le cadre professionnel n’est plus seulement un lieu fonctionnel mais également un espace propice à l’épanouissement personnel.

Prenez l’exemple de Google ou d’Amazon, des géants technologiques qui ont repensé leurs sièges sociaux pour intégrer d’impressionnants espaces verts intérieurs et extérieurs. Chez Amazon à Seattle, les ‘Spheres’ constituent un ensemble de serres géantes abritant plus de 40 000 plantes où les employés peuvent travailler et se relaxer. Cette initiative illustre comment la nature peut être insérée avec succès dans un espace professionnel pour booster créativité et productivité.

Il est important cependant de noter que cette approche va au-delà du simple fait d’avoir quelques plantes sur les bureaux. Il s’agit d’une stratégie globale qui inclut également des pratiques durables telles que le recyclage accru ou l’utilisation rationnelle des ressources. Les bâtiments certifiés LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), par exemple, témoignent d’une conception respectueuse tant pour l’environnement que pour ses occupants grâce à leur intégration harmonieuse dans leur environnement.

Dans ce contexte, il est crucial pour les entreprises d’envisager sérieusement leur rôle dans cette tendance croissante vers des espaces plus verts. Le retour sur investissement se mesure non seulement en termes économiques mais aussi en qualité de vie améliorée pour les employés qui peut se traduire par une meilleure attraction et rétention des talents. De surcroît, en ces temps où l’image marque est essentielle, afficher une conscience écologique forte peut nettement améliorer le positionnement d’une entreprise sur son marché.

En conclusion, alors que nous avançons dans ce XXIe siècle numérique et souvent déshumanisé, investir dans des espaces de travail où la nature joue un rôle central semble être une démarche fondamentale pour toute entreprise visionnaire. Cela nécessite certes un engagement financier initial mais les bénéfices potentiels tant humains qu’économiques justifient largement cette dépense. L’introduction judicieuse de la nature dans nos bureaux n’est donc pas seulement une question esthétique mais elle reflète une compréhension profonde du lien indissociable entre bien-être humain et performance professionnelle.

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Déclaration de cessation des paiements : étapes à suivre

Confrontées à une impossibilité manifeste de faire face au passif exigible avec leur actif disponible, les entreprises en difficulté doivent se résoudre à déclarer la cessation des paiements. Dans le contexte économique contemporain, la compréhension de ce processus s’avère cruciale tant pour les dirigeants d’entreprise que pour les acteurs du monde juridique et économique. La déclaration de cessation des paiements, communément appelée dépôt de bilan, ouvre le droit à différentes procédures collectives visant à assurer le traitement des situations d’insolvabilité.

Au cœur de ce mécanisme se trouve l’article L631-1 du Code de commerce français, qui stipule qu’une telle déclaration doit être faite dans les quarante-cinq jours suivant la cessation des paiements, sous peine de sanctions pénales pour banqueroute. Prenons l’exemple d’une SARL dans le secteur du bâtiment, confrontée à un ralentissement majeur des chantiers et à l’accumulation de dettes auprès de ses fournisseurs. Le gérant doit alors agir sans délai pour limiter les dommages non seulement financiers mais également légaux.

Préparation et dépôt du dossier

La première étape consiste en la préparation exhaustive du dossier qui sera présenté au tribunal compétent. Ce dossier comprend notamment la justification de la cessation des paiements ainsi que divers documents comptables et juridiques. Il importe que cette documentation reflète précisément l’état financier de l’entreprise, comprenant par exemple les bilans, comptes de résultat, états des créances et dettes, contrats en cours, et tout autre élément pouvant attester de sa situation patrimoniale.

Dans notre scénario fictif mais plausible, si notre SARL détient des créances clients non recouvrées susceptibles d’améliorer sa trésorerie à court terme, celles-ci devront être scrupuleusement documentées. Le dépôt s’effectue soit au greffe du tribunal de commerce (pour les commerçants), soit au tribunal judiciaire (pour les professions libérales et agriculteurs), soit au greffe du tribunal administratif (pour les entreprises publiques).

Procédure judiciaire et effets immédiats

Suite au dépôt du dossier, le tribunal convoque le dirigeant pour une audience où seront examinées les causes et circonstances ayant conduit à la cessation des paiements. À cette occasion, plusieurs issues peuvent être envisagées : redressement judiciaire si l’on estime que l’entreprise peut être sauvée ou liquidation judiciaire si aucune solution n’est envisageable. Durant cette période intermédiaire, il est essentiel que l’entreprise suspende tout règlement de dette antérieure au jugement afin d’éviter toute accusation de traitement préférentiel envers un créancier.

Pour illustrer cet aspect crucial, considérons une entreprise spécialisée dans la distribution informatique qui décide unilatéralement de régler intégralement une dette importante auprès d’un fournisseur privilégié juste avant sa déclaration. Cela pourrait être perçu comme un acte anormal pouvant affecter le principe d’égalité entre créanciers lors de la procédure collective.

En parallèle à ces démarches judiciaires, le dirigeant doit également communiquer avec transparence aux salariés, partenaires et clients sur la situation réelle de l’entreprise afin d’éviter toute propagation d’informations erronées ou spéculatives. L’intervention éventuelle d’un administrateur ou d’un mandataire judiciaire permettra ensuite d’assurer une gestion équitable et centralisée des intérêts en présence.

Conclusion

Le chemin parcouru depuis la prise de conscience jusqu’à la résolution définitive est semé d’embûches légales et managériales. La procédure vise avant tout à protéger autant que possible les droits des créanciers tout en essayant de sauvegarder les activités viables et les emplois associés. Chaque entreprise étant unique dans sa structure comme dans son activité économique; il convient donc aux dirigeants concernés par cette éventualité difficile mais parfois inéluctable d’agir avec diligence et prudence pour naviguer au mieux dans ces eaux troubles.

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Comment un dataset d’entreprises peut stimuler votre croissance ?

Dans l’univers concurrentiel des affaires, la compréhension approfondie des dynamiques de marché et la capacité à anticiper les mouvements de l’industrie sont des atouts précieux. les datasets représentent une mine d’informations stratégiques qui, correctement exploitées, peuvent se transformer en levier puissant pour la croissance d’une entreprise.

Un dataset d’entreprises est une collection structurée de données relatives aux entreprises. Ces données peuvent inclure des informations générales telles que le nom de l’entreprise, le secteur d’activité, la taille et le chiffre d’affaires, mais aussi des éléments plus spécifiques comme les tendances de consommation, les performances sur le marché, ou encore les relations entre les entités commerciales. L’accès à ces informations permet aux entreprises de mieux comprendre leur environnement et de prendre des décisions éclairées.

Amélioration de la connaissance client

L’une des applications majeures du traitement de ces données d’entreprises concerne la connaissance client. En analysant les données démographiques et comportementales contenues dans ces datasets, il est possible de dresser un portrait détaillé des clients cibles. Cela aide à personnaliser les offres et les communications marketing pour mieux répondre aux besoins spécifiques de chaque segment de clientèle. Par exemple, en identifiant que les clients d’une région donnée préfèrent les produits écologiques, une entreprise peut ajuster sa stratégie publicitaire pour mettre en avant ses engagements durables dans cette zone géographique.

Optimisation du ciblage B2B

Pour les opérations B2B (Business to Business), un dataset riche peut révéler des opportunités inexplorées. Les données sur les industries complémentaires, par exemple, peuvent aider une entreprise à identifier des partenariats potentiels ou à découvrir un marché non saturé pour ses produits. En analysant le chiffre d’affaires et la croissance annuelle d’autres entreprises, il devient possible d’établir des collaborations mutuellement bénéfiques avec des acteurs en pleine expansion plutôt qu’avec ceux dont la trajectoire économique est moins prometteuse.

Amélioration du processus décisionnel

Lorsqu’il s’agit de prendre des décisions stratégiques importantes, s’appuyer sur un ensemble solide de données chiffrées minimise le risque lié à l’intuition seule. L’étude approfondie d’un dataset permet souvent de déceler des tendances ou des modèles qui ne seraient pas évidents autrement. Par exemple, une analyse détaillée du paysage concurrentiel peut montrer qu’un nombre significatif d’entreprises concurrentes sous-investissent dans une technologie particulière, offrant ainsi une opportunité pour une entreprise proactive d’accaparer ce créneau. Encore une fois la data sera le véritable or noir de vos opérations.

Génération de leads qualifiés

La génération de leads est essentielle pour toute entreprise cherchant à s’étendre. Un dataset bien conçu permet non seulement d’identifier mais aussi de qualifier des prospects en fonction de divers critères tels que leur localisation géographique, leur taille ou leur secteur économique. Ainsi armées, les équipes commerciales peuvent élaborer des stratégies sur mesure visant précisément les entreprises ayant le plus grand potentiel convertisseur.

Analyse prédictive pour anticiper l’évolution du marché

Au-delà de l’utilisation immédiate et tangible dans la prise de décision quotidienne, les datasets servent également dans l’analyse prédictive pour anticiper l’évolution future du marché. Grâce aux techniques avancées comme le machine learning et l’intelligence artificielle, il est possible aujourd’hui de modéliser différents scénarios futurs en fonction du comportement passé et actuel observé dans les datasets. Cette prospective permet aux entreprises proactives non seulement de réagir aux changements mais aussi souvent de les devancer. La figure ci-dessous montre un exemple d’une telle analyse en utilisant des séries temporelles (par exemple via la bibliothèque Prophet de FaceBook).

En somme, alors que nous naviguons dans une ère où l’informatisation globale accroît sans cesse le volume disponible de données commerciales exploitables, savoir tirer parti intelligemment d’un dataset d’entreprises s’avère être un facteur clé pour catalyser la croissance économique. Avec cet outil puissant à leur disposition, il incombe aux dirigeants et managers avisés non seulement d’agréger et analyser ces informations mais aussi – et surtout –d’en extraire judicieusement la quintessence en vue d’alimenter leurs stratégies opérationnelles.

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Qu’est-ce que le dynamic pricing ?

Le dynamic pricing, également connu sous le nom de tarification dynamique, est une stratégie de tarification flexible utilisée par les entreprises pour fixer les prix des biens et services en fonction des fluctuations de la demande et de l’offre. Le but principal du dynamic pricing est d’optimiser les revenus et les marges bénéficiaires en ajustant les prix en temps réel selon divers facteurs tels que les conditions du marché, la concurrence, la saisonnalité et le comportement des consommateurs. Cette pratique est largement utilisée dans divers secteurs comme l’hôtellerie, les compagnies aériennes, l’énergie, le commerce électronique et bien d’autres.

Comment fonctionne le dynamic pricing ?

Pour mettre en œuvre une stratégie de dynamic pricing, les entreprises utilisent généralement des algorithmes informatiques et des modèles statistiques qui analysent en continu un grand nombre de données sur la demande, l’offre et la concurrence. Ces données sont ensuite utilisées pour déterminer les prix optimaux à un moment donné. Les algorithmes tiennent également compte des objectifs spécifiques de l’entreprise, tels que l’augmentation des ventes ou la maximisation des profits.

Un exemple concret d’utilisation du dynamic pricing peut être observé dans l’industrie du transport aérien. Les compagnies aériennes ajustent souvent leurs tarifs en fonction de facteurs tels que la période de réservation (plus vous réservez à l’avance, moins le billet sera cher), le remplissage actuel de l’avion (plus il y a de sièges disponibles, plus les prix sont susceptibles d’être bas) et les données historiques sur la demande pour un itinéraire spécifique. Cette stratégie permet aux compagnies aériennes d’optimiser leurs revenus en s’adaptant aux fluctuations de la demande tout au long de l’année.

Avantages et inconvénients du dynamic pricing

Le dynamic pricing présente plusieurs avantages pour les entreprises, notamment :

  • Une meilleure compréhension des tendances du marché et du comportement des consommateurs, ce qui permet une prise de décision plus éclairée en matière de tarification.
  • La possibilité d’augmenter les revenus et les marges bénéficiaires en ajustant rapidement les prix en fonction des fluctuations de la demande et de l’offre.
  • Une plus grande flexibilité pour réagir aux changements dans l’environnement concurrentiel et aux conditions économiques générales.

Toutefois, le dynamic pricing présente également certains inconvénients :

  • Les consommateurs peuvent percevoir cette pratique comme injuste ou discriminatoire, surtout lorsque les prix varient considérablement en fonction du moment de l’achat ou des caractéristiques personnelles (par exemple, la localisation).
  • La mise en place d’un système de dynamic pricing nécessite généralement un investissement important en matière de technologie et d’expertise pour collecter, analyser et interpréter les données pertinentes.
  • Les entreprises doivent trouver un équilibre entre l’optimisation des revenus et la satisfaction des clients, car des prix trop volatils peuvent entraîner une perte de confiance et de fidélité de la part des consommateurs.

Le dynamic pricing est une stratégie de tarification flexible qui offre des avantages significatifs aux entreprises en termes d’optimisation des revenus et de réactivité face aux fluctuations du marché.

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Scooters électriques en entreprise : comment cette solution de mobilité durable peut améliorer l’efficacité et réduire l’empreinte carbone

Le concept de la mobilité durable, également appelé écomobilité, vise à concilier les besoins de déplacement des personnes et la diminution de l’impact carbone des transports. Lorsque l’on sait que le transport représente plus d’un tiers des émissions de CO2 mondiales, on comprend vite pourquoi une telle transition est indispensable. Faisons le point.

Les enjeux de la mobilité durable en entreprise

La mobilité durable s’inscrit dans une logique plus large de développement durable. Pour cela, elle répond à 3 enjeux ou 3 piliers : environnemental (réduction des émissions polluantes et notre dépendance aux énergies fossiles) économique (mobilité pérenne, favorable à l’économie et à l’emploi) et sociétal (mobilité inclusive pour les déplacements de tous).

Les déplacements domicile – travail : un poste d’émission important

Selon une étude de l’INSEE de 2017, la voiture reste le mode de déplacement majoritaire pour les trajets domicile – travail : 74 % des trajets domicile-travail. Presque la moitié des trajets sont effectués avec le conducteur seul. Le cumul des voitures circulant à l’échelle de l’hexagone représente donc un des plus gros postes d’émission de gaz à effet de serre.

Ajoutons à cela les coûts financiers pour les entreprises et les salariés : coût du carburant, frais d’usure et d’entretien des véhicules, frais d’assurance et autres frais (péage, contrôle technique, etc.).

Les mobilités douces : des solutions durables et rentables

La mobilité durable englobe ce que l’on appelle la mobilité douce, comme le vélo et la trottinette. Pour faciliter les déplacements, il existe des modèles électriques en libre-service. Ce service public mis en place par les municipalités vise à aider le développement de la mobilité durable.

Les avantages des scooters électriques en entreprise

La loi d’orientation des mobilités impose de mettre en place un plan de mobilité à toute entreprise de plus de 50 salariés afin d’aider à la transition écologique. Plusieurs solutions s’offrent à l’entreprise.

Par exemple, une entreprise peut faciliter les trajets domicile – travail en mettant à disposition des bornes de recharge pour véhicules électriques personnels des salariés. Elle peut aussi offrir un service de mobilité partagée en mettant des scooters électriques (une solution particulièrement adaptée aux déplacements en ville) à disposition des collaborateurs ou l’autopartage de véhicules électriques grâce aux nouvelles applications permettant de gérer leur réservation.

La mise en place des solutions de mobilité durable en entreprise

D’autres solutions existent pour les entreprises. Les forfaits mobilités durables sont une incitation financière intéressante pour les salariés, car tous y sont éligibles dès lors qu’ils utilisent un mode de transport durable.

Le forfait mobilités couvre aussi bien les trajets domicile – travail que les déplacements professionnels pour lesquels l’entreprise prend en charge tout ou partie des dépenses liées. La loi d’orientation instaure également une mesure en faveur du vélo avec l’indemnisation kilométrique pour les déplacements à vélo.

Les bénéfices pour l’entreprise et pour l’environnement

Les bénéfices pour l’environnement sont évidents avec une diminution significative des émissions de gaz à effet de serre et de la pollution. Pour l’entreprise, c’est une aubaine pour réduire son empreinte carbone et ainsi optimiser sa politique RSE en valorisant son engagement en faveur de la transition énergétique et l’amélioration de la qualité de vie au travail des salariés (gain de temps, réduction des coûts et du stress, etc.).

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Les meilleures pratiques pour des réunions virtuelles efficaces

Le télétravail et les réunions virtuelles sont devenus monnaie courante au sein des entreprises. Si la communication à distance est donc un élément clé du travail en équipe aujourd’hui, il est crucial de s’assurer que les réunions en ligne sont menées de manière efficace pour maintenir la productivité. Pour vous aider à vous améliorer sur ce point, faisons un tour d’horizon rapide des meilleures pratiques et conseils pour organiser et gérer des réunions virtuelles réussies.

Préparation et organisation : la clé d’une réunion virtuelle réussie

Avant le début d’une réunion virtuelle, il est essentiel de bien préparer et organiser les points à aborder pendant le temps déterminé. Pour ce faire, vous pouvez commencer par établir un ordre du jour clair et concis, en définissant les objectifs de la réunion et les sujets à traiter. Assurez-vous également que tous les participants reçoivent ces informations à l’avance pour qu’ils puissent se préparer.

Afin d’optimiser la collaboration entre les membres de l’équipe, assurez-vous aussi de choisir un outil de visioconférence adapté aux besoins de votre entreprise. Des solutions telles que Zoom, Microsoft Teams ou Google Meet offrent de multiples fonctionnalités susceptibles de faciliter la communication et la collaboration. Testez la connexion et les équipements en amont pour éviter les problèmes techniques qui pourraient nuire à l’efficacité de la séance.

Le choix des équipements est bien entendu important pour assurer la qualité de la communication. Par exemple, l’utilisation de casques téléphoniques peut contribuer à réduire les bruits de fond et à améliorer l’écoute.

Gestion du temps et des interactions : les secrets d’une réunion en ligne productive

Pour que les réunions virtuelles soient efficaces, il est primordial de bien gérer le temps et les interactions entre les participants. Commencez ainsi les réunions à l’heure prévue et dédiez quelques minutes en début de séance pour un tour de table rapide, afin que chaque personne puisse échanger quelques mots et établir une connexion avec les autres membres.

Pendant la réunion, assurez-vous que chaque participant puisse s’exprimer et que les discussions restent centrées sur les objectifs établis. Il est à ce titre recommandé de nommer une personne en charge de la modération, et ce, pour faciliter les échanges et maintenir l’ordre lors des débats éventuels.

Pour optimiser la productivité, il peut aussi être utile de prévoir des pauses régulières, surtout si la réunion est supposée durer plusieurs heures. Ces dernières permettront aux participants de se détendre et de rester concentrés lorsqu’ils reviendront en visioconférence.

Suivi des décisions : transformer les réunions virtuelles en actions concrètes

Après la réunion, il est primordial d’assurer un strict suivi des décisions prises. Pour ce faire, pensez à dresser un compte-rendu détaillé et à le partager avec les participants. Ce document doit notamment inclure les points clés abordés, les décisions prises et les actions à entreprendre par chaque membre de l’équipe.

Favorisez également la collaboration en utilisant des outils numériques de gestion de projets et de partage d’informations, tels que Trello, Asana ou Google Drive. Ces solutions permettent en effet aux membres de l’équipe de suivre l’avancement des tâches et de rester informés des progrès réalisés.

Enfin, pour évaluer l’efficacité des réunions virtuelles et apporter des améliorations pour les prochaines sessions, sollicitez les retours des participants. Ceux-ci pourront ainsi partager leurs impressions, leurs conseils et leurs suggestions pour optimiser les futures réunions en ligne.

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Jeunes actifs : investir intelligemment dans l’immobilier avec une SCI

Investir intelligemment dans l’immobilier est un enjeu majeur pour les jeunes actifs qui souhaitent se constituer un patrimoine solide et sécurisé. La pierre a en effet toujours eu l’avantage d’offrir un rendement attractif et une certaine stabilité face aux fluctuations des marchés financiers. Parmi les différents dispositifs d’investissement possibles, la Société Civile Immobilière (SCI) est sans doute l’une des solutions les plus intéressantes pour gérer et optimiser un patrimoine immobilier lorsqu’on est jeune.

Pour vous permettre d’y voir plus clair, explorons les avantages de la SCI à travers quelques conseils judicieux pour investir avec ce type de société.

La SCI, une solution adaptée aux jeunes actifs pour investir dans l’immobilier

La SCI est une société civile permettant la gestion d’un patrimoine immobilier. Elle donne la possibilité à plusieurs investisseurs de s’associer pour acquérir, gérer et transmettre des biens immobiliers mis en commun. 

À de nombreux égards, la SCI présente plusieurs avantages spécifiques pour les jeunes actifs qui souhaitent investir dans l’immobilier :

  • une grande flexibilité, notamment pour la répartition des parts sociales entre les associés, qui permet aux jeunes actifs de s’adapter facilement aux évolutions de leur situation personnelle et professionnelle ;
  • une mutualisation des risques inhérents à tout investissement immobilier grâce aux autres investisseurs, ce qui peut faciliter la diversification du patrimoine et la répartition des responsabilités en cas de difficultés financières ;
  • un accès facilité au crédit immobilier, d’autant plus que les jeunes actifs sont plus exposés aux revenus modestes et aux apports personnels limités.

Conseils pour les jeunes actifs souhaitant investir dans l’immobilier avec une SCI

Les jeunes actifs en particulier se doivent de bien choisir leurs biens immobiliers et de s’informer sur les dispositifs fiscaux en leur faveur, à l’image de la loi Pinel. Néanmoins, il est également nécessaire pour eux de suivre un certain nombre d’autres conseils s’ils souhaitent investir de manière judicieuse par le biais d’une SCI.

En premier lieu, ce profil d’investisseurs doit particulièrement s’assurer d’investir progressivement, ce qui implique un premier bien immobilier avant d’élargir le patrimoine en fonction de l’évolution de la situation financière et des objectifs.

De même, les jeunes actifs doivent privilégier des biens immobiliers qui correspondent à leur profil et à leurs besoins, que ce soit en termes de taille, de localisation ou encore de potentiel locatif. Des studios ou des petits appartements en zone urbaine offrent par exemple un bon rendement, en plus d’être faciles à louer et à gérer.

Notons par ailleurs qu’il est primordial d’optimiser le financement de chaque bien en passant en revue les dispositifs fiscaux avantageux et les diverses solutions permettant de financer une partie de l’investissement. N’oublions pas non plus qu’à ce titre, la négociation du crédit immobilier est une étape clé qui se doit d’être bien menée pour minimiser les coûts et adapter les mensualités à la capacité de remboursement.

De manière générale, il est vivement recommandé aux jeunes actifs de recourir aux services d’un courtier immobilier pour les aider à comparer les offres et à obtenir les meilleures conditions de financement.

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Bien choisir une société de portage salarial

Depuis de nombreuses années, le portage salarial est une pratique courante dans le monde de l’entreprise. Il permet par exemple aux indépendants, freelances ou consultants de bénéficier d’un statut de salarié tout en étant autonomes dans la gestion de leur activité. Mais contre toute attente, pour les entreprises aussi, le portage salarial offre une grande flexibilité, notamment en matière de recrutement de compétences spécifiques pour des missions ponctuelles. Toutefois, dans tous les cas, pour profiter de tous ces avantages sereinement, il est essentiel de bien choisir la société de portage salarial.

Pour vous aider à faire votre choix, voici quelques critères à prendre en compte.

Les services proposés par la société de portage salarial

Le choix d’une société de portage salarial dépend avant tout des services proposés. Cette dernière doit en effet offrir des outils et des services adaptés aux besoins des indépendants et des entreprises qui souhaitent faire appel à elle. Cela implique pour ceux-ci de bien s’informer sur les prestations concernées, qu’il s’agisse de la gestion administrative, de la facturation, du suivi des paiements, de la gestion des contrats, des formations ou de l’assurance responsabilité civile professionnelle.

De plus, il est important de s’assurer que la société de portage salarial dispose d’un bon réseau de partenaires pour aider les consultants à trouver des missions et des clients. Celui-ci peut en effet augmenter les opportunités de travail et permettre une croissance plus rapide de l’activité.

Les avantages financiers offerts par la société de portage salarial

La rémunération est aussi un critère essentiel pour choisir une société de portage salarial. Les taux de commission varient effectivement d’une structure à l’autre, ce qui exige de s’informer sur les chiffres pratiqués. En règle générale, il faut savoir que les commissions de la plupart des sociétés varient de 5 à 15 % du chiffre d’affaires réalisé. N’hésitez pas à utiliser un simulateur comme celui de cegelem.fr par exemple.

Il semble également judicieux de prendre en compte les avantages offerts par la société de portage salarial, tels que les remboursements de frais professionnels, les garanties sociales, la participation aux formations, etc. Ces atouts peuvent en effet être des éléments déterminants pour s’orienter vers une société de portage salarial plutôt qu’une autre.

L’accompagnement proposé par l’entreprise de portage salarial

L’accompagnement proposé par l’entreprise de portage salarial reste un critère important pour faire le bon choix, puisque les indépendants sont susceptibles d’avoir besoin d’être accompagnés, et ce, notamment pour la gestion administrative et fiscale. Les sociétés de portage salarial doivent donc pouvoir répondre aux besoins spécifiques de chaque salarié porté.

À noter que l’accompagnement en question doit de préférence inclure la recherche de missions et de clients, même en présence d’un solide réseau de partenaires, car il s’agit d’une aide non négligeable pour les salariés portés qui débutent leur activité.

Enfin, il paraît incontournable de vérifier que la société de portage salarial respecte les normes et la réglementation en vigueur. Cela inclut par exemple les conventions collectives propres à chaque secteur d’activité, qui peuvent offrir une meilleure protection sociale aux salariés portés.

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Les étapes pour créer une SCI

La société civile immobilière, ou SCI, est un statut juridique qui permet à plusieurs personnes de s’associer pour acheter, construire ou gérer un ou plusieurs biens immobiliers. Ce type d’entreprise peut être constitué de particuliers, mais également de professionnels de l’immobilier, d’entreprises ou d’associations. De manière générale, la création d’une SCI implique de nombreux avantages. Ces derniers passent par une fiscalité avantageuse, une gestion facilitée pour chaque actionnaire ou encore une transmission facilitée lorsque la société est créée dans un but d’héritage.

Vous vous intéressez au statut de la SCI ? Vous vous demandez quelles sont les étapes de création d’une telle entreprise ? Faisons le point ensemble.

Étape 1 : choisir le type de SCI

La première étape de création d’une SCI est de choisir la forme qui convient au projet. En effet, il existe plusieurs types de SCI, chacune ayant ses spécificités, avantages et inconvénients. Avant de se lancer, il convient donc d’opter pour le meilleur statut. Ce choix doit se faire parmi :

  • la SCI familiale, destinée au projet des membres d’une même famille ;
  • la SCI d’attribution, pour diviser un bien immobilier en plusieurs lots attribués selon le nombre de parts sociales ;
  • la SCI de location, pour assurer la mise en location d’un ou de plusieurs biens immobiliers ;
  • la SCI de construction-vente, dans l’unique but de construire un bien immobilier et de le mettre en vente ;
  • la SCI en jouissance partagée, pour attribuer un temps d’occupation défini durant l’année à chacun des associés.

Étape 2 : rédiger les statuts de la SCI

Comme pour toute société, les statuts jouent un rôle essentiel. En ce sens, leur rédaction doit être minutieuse et précise. Ce document juridique fixe les règles de fonctionnement de la société civile immobilière, ce qui englobe les droits et obligations des associés, les modalités de prise de décision, etc. Plusieurs mentions doivent obligatoirement y figurer, parmi lesquelles :

  • la dénomination de la société ;
  • l’objet de la société ;
  • l’adresse du siège social de la société ;
  • le montant du capital social ;
  • la répartition des parts sociales entre les associés ;
  • les modalités de prise de décision ;
  • les modalités de gestion de la SCI ;
  • les modalités de cession des parts sociales ;
  • etc.

Étape 3 : constituer le capital social

Le capital social de la SCI est constitué des apports des associés, qu’ils soient en numéraire (argent), en nature (biens mobiliers et immobiliers ou en industrie (compétences ou savoir-faire). Dans tous les cas, la valeur globale des apports de chacun des associés détermine le montant du capital social de la SCI. Attention, les apports en nature doivent faire l’objet d’une estimation par un commissaire aux apports.

Étape 5 : publier un avis de constitution

Toute société se doit de faire publier un avis de constitution lors de sa création et la SCI n’y échappe pas. Celui-ci doit paraître dans un journal d’annonce légale du département du siège social de la société civile immobilière. Il doit inclure la date de signature des statuts, la dénomination et la forme de la société, le montant du capital social, etc.

Étape 6 : immatriculer la SCI

Pour conclure la création de la SCI, il faut immatriculer la société auprès du centre de formalités des entreprises compétent. À ce titre, il est nécessaire de déposer un dossier composé du formulaire Cerfa M0, d’un exemplaire des statuts, d’un justificatif d’occupation des locaux, d’un justificatif d’identité des associés et d’un chèque pour les frais d’immatriculation.